PublicitéQJ juin 2022
sel nos larmes loline maison blanche
Article précedent «

« Le sel de nos larmes » de Ruta Sepetys

facebooktwittergoogle_plusmail

Cet article est signé Loline THOMAS, élève de 3eF et membre du club lecture du collège Maison Blanche.

Inspirée d’une histoire vraie, l’auteur a fait ses propres recherches pour écrire ce livre magnifique.

Présentation du livre

L’auteur : Ruta Sepetys est née au Michigan. Sa famille est composée d’artistes, d’intellectuels et de musiciens. Son père est un réfugié lituanien qui a été menacé de mort par Staline. Elle vit dans le Tennessee avec son mari et consacre sa vie à l’écriture. C’est la seule écrivaine à avoir été décorée de la Croix du Chevalier par le Président de Lituanie pour son roman : «Ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre »

Genre : roman

Thème/sujets abordés : historique. Le livre parle des conditions de vie difficiles durant la Seconde Guerre Mondiale en Hiver 1945 mais également d’amour et d’amitié.

Résumé

Connaissez-vous le Wilhelm Gustloff ? Un navire allemand qui a accueilli des milliers de réfugiés mais ayant fait plus de neuf mille morts, soit six fois plus de victimes que le Titanic ?

Quatre adolescents nommés Florian, Joana, Emilia et Alfred fuient l’avancée de l’armée soviétique et racontent leur histoire. Ils se retrouvent tous dans le Wilhelm Gustloff  espérant quitter leur pays et retrouver leur liberté.

Lazarettschiff  "Wilhelm Gustloff" in Danzig

Une super critique !

Le sujet abordé dans ce livre est intéressant, et très important. Certains personnages sont touchants et très attachants comme Joana, Emilia et Florian Par contre je n’aime pas Alfred, il est méchant avec Emilia et veut être comme Hitler.

C’est un livre à quatre voix, c’est-à-dire qu’il y a quatre points de vue différents ce qui nous permet de voir plusieurs aspects de l’histoire.

L’écriture est simple et originale. Avec quelques mots de vocabulaire allemand et en polonais. Les phrases sont courtes et détaillées.

Le décor est réaliste et captivant. Il y a beaucoup d’action mais le rythme est lent pour exprimer la souffrance. Les chapitres sont plus ou moins courts. L’intrigue est captivante car les personnages ont beaucoup soufferts (sauf Alfred), et deux d’entre eux vont mourir (attention, ne pas pleurer si cela concerne Alfred !). Il y a quelques rebondissements mais pas assez pour que ce soit plus joyeux.

C’est triste, et beaucoup risquent de pleurer en lisant le livre. On entre dès les premières lignes dans l’histoire, impossible de s’arrêter et de le lâcher.

La fin est prévisible pour Alfred parce que je ne l’aime pas car il est raciste.

En bref :

Le meilleur roman du monde ! A lire absolument, obligatoirement ! Une place de choix dans ma bibliothèque ! Car il est émouvant, fabuleux, très agréable à lire, et extrêmement touchant !


PublicitéQJ juin 2022

x